«Plus que jamais, l’économie et l’environnement sont liés», a déclaré Line Beauchamp, ministre du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs (MDDEP), lors du dépôt du budget provincial le 19 mars. Cette déclaration pour le moins ambigüe a de quoi laisser perplexe. Après un examen attentif du budget, force est de constater que la préoccupation environnementale obtient plus de succès dans les sondages et les discours que dans la réalité. (Simon Laquerre, pour la Frontière)

Considérant l’ampleur de la débâcle financière et les conséquences actuelles de la crise économique : chômeurs, travailleurs précaires, sans logis, et la misère sous toutes ses formes ; (…) (Mouvement québécois pour une décroissance conviviale)

Au moment où même le Forum économique mondial souligne l’importance d’établir des orientations structurantes face aux crises multiples actuelles, le budget Harper brille par l’absence d’orientations claires. Ni les mesures pouvant avoir un effet immédiat sur l’économie – le but principal de l’intervention d’urgence – ni les mesures pouvant établir les assises d’un développement plus structuré ne s’y trouvent. (Nature Québec)

Dans le cadre des élections fédérales, le Conseil régional de l’environnement du Bas-Saint-Laurent a compilé les résultats d’un questionnaire remis aux candidats de la région sur les enjeux environnementaux prioritaires au Bas-Saint-Laurent. (CREBSL)