Catherine Paquette
GaïaPresse est fier d’être à la fois un média indépendant et une coopérative de solidarité fonctionnant grâce à l’engagement de ses membres. Nous comptons parmi nos membres des acteurs importants du secteur de l’environnement. Cet automne, nous vous présentons quelques-unes de ces personnes qui contribuent à la réussite de GaïaPresse, d’une manière ou d’une autre.
La première personne est notre journaliste-webmestre, Catherine Paquette, qui a joint l’équipe au début du mois de septembre. Nous lui avons posé quatre questions pour mieux la connaître et vous la présenter.
À quel moment êtes-vous devenue intéressée par les enjeux de protection de l’environnement et de développement durable?
J’y ai toujours été sensibilisée, ayant été élevée par des parents scientifiques qui nous rappelaient d’éteindre les lumières et qui nous ont initiés très tôt au compostage, par exemple… Mais je crois que je peux identifier un moment fort : un travail scolaire sur les pluies acides que j’ai fait en secondaire 2, et qui m’avait ouvert les yeux sur l’interdépendance des systèmes et des milieux naturels.
Nommez une pratique verte que vous avez intégrée dans votre quotidien.
Je suis fière de dire que je fais tous mes déplacements à vélo tant et aussi longtemps qu’on peut voir l’asphalte. J’ai aussi appris à réduire considérablement mes déchets en achetant ou en réutilisant des vêtements et des biens usagés !
Quel est l’enjeu environnemental ou de développement durable qui vous tient le plus à coeur/auquel vous vous intéressez le plus/que vous suivez le plus attentivement dans les médias?
En tant que journaliste, je préfère ne pas m’identifier comme étant plus sensible à telle ou telle cause ou enjeu. Je dois admettre toutefois que l’engagement citoyen est un élément particulièrement inspirant dans le cadre de mon travail. Je tente de rester attentive aux initiatives qui prennent forme un peu partout au Québec.
David Suzuki, Rachel Carson et Laure Waridel s’invitent à souper, que leur servez-vous?
J’aimerais le savoir des mois en avance pour finalement mettre en place mon projet de potager et faire pousser mes propres poivrons et tomates – je servirais sans doute un plat végétalien d’inspiration indienne fait de produits locaux.
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