Une rivière : un trésor qui n'a pas de prix

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Par Johanne Dion
Co-fondatrice du Comité richelois pour une meilleure qualité de vie


Depuis longtemps, pour beaucoup de personnes, les rivières du Québec ne sont qu’une source d’eau pour l’aqueduc de leur ville, ou un endroit commode vers lequel coulent les égouts. Les banlieusards n’ont qu’une vague idée de la provenance de l’eau qui sort de leur robinet, et à moins d’un arrêt d’urgence de ce service essentiel, ils s’en soucient très peu. Personne ou presque ne prend le temps de réfléchir sur la destination de l’eau qui s’échappe de leur évier ou de leur toilette.

À la campagne, pour les agriculteurs, une rivière est la destination finale du système de drainage de leurs terres. Depuis que l’agriculture s’est mécanisée, les terres ont été sillonnées par des tuyaux de drainage afin d’en accélérer l’écoulement de l’eau lors du dégel et l’assèchement au printemps. Le drainage des sols permet de rallonger la saison des cultures. Sous le règne du péquiste Jean Garon, ministre de l’Agriculture à l’Assemblée nationale de 1976 à 1985, la plupart des ruisseaux ont été redressés (1) afin d’aider le passage rapide et plus aisé des équipements agricoles.

Voilà comment se résume la place qu’occupe une rivière dans la vie de la majorité de la population.

La rivière, une présence sereine

En tant que riveraine de la rivière Richelieu depuis ma naissance, la rivière qui coule devant chez moi est une présence intégrante à ma vie : son murmure me parle quand je jardine le jour et me berce jusqu’à ce que je m’endorme la nuit. Le vent, même léger, m’apporte ses odeurs. Je peux humer les rives chauffées par le soleil quand le niveau baisse durant les journées chaudes de l’été, les effluves d’algues et de poisson, et tout simplement “l’odeur de l’eau” quand la direction et la force du vent balaient le cap des soubresauts des rapides. Savoir que cette force de la nature poursuit son cours, peu importet les troubles et les tempêtes de l’existence, me procure une sérénité qui me manque parfois. J’aurai toujours la mélancolie des souvenirs de baignades insouciantes de mon enfance, avant que ne surviennent les inquiétudes de la pollution.

Waterkeepers

J’ai longtemps cherché à partager mon amour d’une rivière avec les autres, et l’apathie de la plupart des gens rencontrés m’a toujours étonnée. La détérioration graduelle de la qualité de l’eau de la rivière, ainsi que l’artificialisation de ses rives au gré du temps me rendent de plus en plus inquiète. Je suis toujours en quête de moyens pour alerter les gens autour de moi pour tenter de changer les choses. J’ai regardé des modèles ailleurs : comment d’autres personnes ont-elles réussi à améliorer le sort de leur rivière en emmenant les autres à participer à sa dépollution?

La rivière Hudson dans l’état de New York est un bel exemple. La rivière Hudson est la rivière miroir direction sud de la rivière Richelieu. En amont des deux rivières se trouve le lac Champlain. Du lac Champlain, on peut voguer au sud via des canaux et la rivière Hudson jusqu’à la ville de New York et l’océan Atlantique. De même, du lac Champlain, grâce à la rivière Richelieu et au canal de Chambly, on peut se rendre en bateau jusqu’à Sorel et au fleuve Saint-Laurent.

L’industrialisation des rives de la rivière Hudson et l’agriculture en amont en avaient fait un égout à ciel ouvert, toxique en plus. Comment est-ce que Robert H. Boyle, un écrivain sur la pêche sportive et amateur de pêche à la mouche, a-t-il réussi à fonder la Hudson River Fishermen’s Association et devenir le président-directeur du Hudson Riverkeeper, Inc.? Comment a-t-il soulevé assez de mouvement de masse pour commencer l’assainissement de la rivière, intenter des poursuites contre les industries polluantes des rives, jusqu’à engager le très prestigieux avocat environnemental, Robert F. Kennedy Jr, et forcer les gouvernements à faire appliquer leurs propres lois environnementales?

Après la lecture du livre “The Riverkeepers” écrit par John Cronin et Robert F. Kennedy Jr (2), j’en suis venue à la conclusion que pour assurer la défense de la rivière Richelieu, pour préserver et améliorer la qualité de ses écosystèmes, sa valeur devait être mise en évidence.

La nature de l’homme est telle qu’il doit être capable de mesurer l’impact de la perte d’une richesse pour le motiver à la protéger. Comment sauver une rivière? Si la perdre voulait dire qu’on perdra de l’argent, on y mettra les efforts et les sommes nécessaires pour la préserver et la mettre en valeur.

 


Photo : Johanne Dion et Tim Yeatman

Nos héros défenseurs

Comme les membres du Hudson Riverkeeper, le Québec connaît aussi des héros qui travaillent depuis des années à améliorer l’écologie de la rivière Richelieu et celle des autres rivières. Je pense entre autres aux agents de la conservation de la faune, qui sont souvent intervenus durant les confrontations entre riverains qui ont différentes notions du comportement responsable envers la flore et la faune.

Une place d’honneur doit être réservée aux scientifiques et fonctionnaires de nos gouvernements fédéral et provincial, qui approfondissent nos connaissances pour améliorer les conditions de vie de la flore et la faune de nos rivières, comme Pierre Dumont, biologiste au MRNF, ou Alain Branchaud et Andrée Gendron, biologistes de la vie aquatique.

Sans tambours ni trompettes, grâce à leurs travaux, nous nous familiarisons avec les créatures aquatiques et leurs exigences pour survivre. Je crois sincèrement que plus nous nous efforcerons d’assurer leur bien-être, meilleure sera la qualité de vie des humains sur terre. Aux critiques qui disent qu’on se soucie plus du sort des espèces menacées que des humains, je dis : si l’on prend soin de la planète, elle prendra soin de nous. La disparition des espèces est le système d’alarme de la planète qui essaie de nous dire que les choses ne vont pas bien.

Les organismes dédiés

Plusieurs organismes aussi se penchent sur le sort de la rivière Richelieu, et cela, dès sa source : la Baie Missisquoi et le Lac Champlain. Je peux souligner les efforts de l’équipe de Conservation Baie Missisquoi qui a l’avantage d’avoir la participation de nos voisins du sud. Nos gouvernements fédéral et provincial ont créé un outil pour voir au fleuve Saint-Laurent : depuis vingt ans qu’ils y travaillent, entre autres avec leur Plan d’action Saint-Laurent Vision 2000 (SLV 2000). J’ai entendu dire que leur budget avait été coupé dernièrement, ce qui est bien dommage, car la tâche est grande!

D’autres partenariats se sont formés, comme Shell Conservation, Hydro Québec et Conservation de la Nature Canada (3) qui fournissent fonds, stagiaires et une volonté de préserver les joyaux de la nature. Conservation de la Nature s’est vu léguer une partie du fond de la rivière Richelieu qui appartenait à Hydro Québec, puisque la rivière avait déjà été harnachée dans le passé pour produire de l’électricité. Il se trouve qu’un poisson en danger de disparaître se reproduit près de l’ancien barrage électrique : les stagiaires de Shell Conservation ont inventorié les trésors qui s’y cachent.

Qui au Québec n’a pas entendu parlé de Nature-Action et tous les beaux projets (4) pour éduquer, informer et préserver? Comme toutes les rivières, l’érosion fait son travail sur les berges de la rivière Richelieu, et Nature-Action s’en préoccupe : il est maître d’oeuvre de travaux de stabilisation et de réhabilitation de berges de la région.

Avec son équipe de scientifiques, Nature Québec se met au service de notre environnement, et la vallée du Richelieu ne fait pas exception (5). Il émet des communiqués de presse et soumet des rapports pertinents au BAPE et les commissions qui touchent de près ou de loin l’environnement des Québécois.

L’eau potable

Un argument évident pour préserver la qualité de l’eau d’une rivière, surtout si elle sert de source d’eau potable pour les populations, c’est d’en maintenir la santé écologique pour garder au minimum les frais de traitement pour la rendre buvable.

Dans le rapport de la situation financière de ma ville, Richelieu, disponible sur le site internet de la municipalité, il est remarquable de constater que le traitement et l’approvisionnement de l’eau potable était de 23 sous du mètre cube en 2005.

Par contre, ce coût est en croissance. Traiter les eaux de surface pour la rendre potable motive les municipalités à participer à des campagnes de publicité comme celles faites par Réseau Environnement, incitant  les citoyens à mettre fin au gaspillage de l’eau potable (6).

C’est l’évidence même pour n’importe quel néophyte que si la matière première, l’eau de la rivière, est de bonne qualité et propre, les coûts pour la rendre potable seront moindres.

 


Photo : Johanne Dion et Tim Yeatman

 

Les autres usagers d’une rivière

Outre une source d’eau pour l’aqueduc et une destination pour les égouts et les eaux de ruissellement des terres agricoles, les rivières et les lacs comme la rivière Richelieu servent au dynamisme économique d’une région.

Les villes riveraines commencent à comprendre l’importance et la valeur d’être aux abords d’une rivière saine. Si le cours d’eau est en santé, la qualité de vie des riverains s’en trouve rehaussée. La valeur foncière de ses propriétés, donc l’assiette fiscale, s’en trouve augmentée. On peut s’en rendre compte sur le site des villes de Saint-Jean-sur-Richelieu et d’Otterburn Park. Mais quelle ville se vantera d’être riveraine s’il s’avère qu’elle ne traite pas entièrement (à cause d’égouts croisés ou de débordements) ou suffisamment (traitement secondaire ou tertiaire) ses eaux usées?

Même un chalet se loue plus facilement et connaît une plus-value à proximité de l’eau. En effet, qui voudra louer un chalet au bord d’un plan d’eau qui est sur la liste des algues bleues du MDDEP?

Pour une ville riveraine, l’attrait touristique engendre d’autres sources financières. Des commerces s’établissent et en tirent des  avantages : les boutiques de sport, surtout celles associées au nautisme, au canot et au kayak en ont fait une véritable passion. Même les nouveautés, comme le wakeboard, ont leurs fans. Ils apprécient la rivière Richelieu pour pratiquer leur sport préféré, tandis que la descente de la rivière en costume de plongée fait déjà partie des traditions de ses adeptes. Même les guides touristiques aiment le mentionner sur leur site et dans les manchettes des grands médias que la rivière Richelieu est un lieu de plaisance exceptionnel.

Nombreux sont pourtant ceux et celles qui ne prennent pas le risque de tomber à l’eau tout en pratiquant leur sport préféré. Ils sont conscients qu’ils peuvent devenir malade, soit d’une dermatite du baigneur ou d’un empoisonnement à l’E.coli.

Toujours grâce aux plaisirs de l’eau, des marinas s’installent (7), et des activités de groupe s’y organisent et deviennent des excuses pour toutes sortes d’occasions de fêter aux abords de la rivière. Pourquoi ne pas partir en croisière? Même une entreprise de croisières a adopté le nom de la rivière Richelieu! Nous risquons de perdre tout cet apport économique touristique si la proximité de cette rivière est désagréable pour la vue ou l’odorat.

Des spas,  des restaurants, dont le très célèbre Fourquet Fourchette profitent de la beauté du Richelieu. Mais qui voudra venir casser la croûte avec des amis sur la terrasse d’un bon restaurant au bord d’une rivière qui pue?

Les pistes cyclables qui longent des cours d’eau connaissent un succès marqué également, et les groupes qui en font la promotion aiment se faire appeler les “amis” du canal de leur choix. Mêmes les villes aiment en faire la promotion sur leur site. Mais qui voudra rouler à bicyclette toute la journée le long d’une rivière couverte d’algues où flottent les poissons morts?

Toujours grâce à la présence de l’eau, les ornithologues et passionnés d’observation de la gent ailée en milieu aquatique profitent d’une liste plus longue d’oiseaux à observer. D’autres groupes organisent des tournois de pêche. Pourtant, une rivière polluée ne pourra pas maintenir la vie d’une façon soutenable. La rivière Richelieu n’attirera plus les passionnés de pêche ou d’oiseaux si sa faune disparaît à cause d’un écosystème débalancé par la négligence des humains.

Comme les autres grandes rivières du Québec, la rivière Richelieu a sa liste de parcs fédéraux et provinciaux le long de ses rives, comme le Fort Chambly, ou le canal à Saint-Ours. Une rivière comme la rivière Richelieu fait partie de l’histoire du Québec : qui ne connaît pas Les Patriotes et les évènements qui se sont déroulés entre 1837 et 1839 sur le Chemin des Patriotes qui longe sa rive? C’est assez pour en faire un thème dans les musées!

Une rivière est en effet un héritage précieux qui se lègue de génération en génération : elle mérite bien qu’on la transmette aux enfants en meilleur état que celui dans lequel on l’a reçue.
 
Une rivière a toujours été un sujet prisé par les amateurs de photos et devient une “star” grâce au talent de plusieurs d’entre eux. Aussi, plusieurs artistes locaux en ont fait le sujet de leurs oeuvres. Mais qui voudrait atteindre la célébrité en faisant la liste des alertes de blooms d’algues bleu-vert?

Et la baignade?

On penserait que la baignade est l’attrait principal d’une rivière importante comme la rivière Richelieu, d’autant plus qu’il y a très peu de plages qui demeurent accessibles au public. Il y en a une à Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix, près du Lac Champlain. Mais, au Québec, l’analyse de l’eau de baignade des plages naturelles est facultative. Très peu sont identifiées au MDDEP (8) où l’on peu connaître la qualité de l’eau de baignade (9).

Pourtant, une rivière où l’on peut se baigner devient une plus-value pour quiconque veut s’en vanter. Même les Scouts aiment bien mentionner leurs camps où la baignade en eau naturelle est possible. Mais les plaisirs de la baignade sont vites tiédis si le baigneur souffrira de la dermatite du baigneur ou d’une gastro à la suite d’une saucette.

Aussi, on oublie facilement qu’une rivière est un milieu écologique où plusieurs espèces menacées de disparaître font de leur mieux pour se reproduire et survivre, comme le chevalier cuivré (10) et les anguilles (11). Comment mettre un prix de la perte à tout jamais d’une espèce animale ou végétale ?

 


Photo : Johanne Dion et Tim Yeatman

La pollution

Un trésor vivant comme une rivière est exposé aux abus qu’on lui inflige. La pollution industrielle a été mise sous la loupe dans les années 1990. Les égouts des villes riveraines ont également reçu des sommes considérables pour traiter leurs eaux usées, pour le traitement primaire et secondaire. Maintenant, d’autres aides financières seront nécessaires pour que les villes puissent faire le traitement tertiaire, qui serait la prochaine étape souhaitable pour améliorer la salubrité des rejets, ainsi que la séparation des égouts fluviaux d’avec les égouts sanitaires. Et pour ceux qui ne sont pas raccordés aux égouts municipaux, une inspection obligatoire et des tests subséquents devraient être faits par une équipe volante du provincial : la plupart des municipalités n’ont tout simplement pas le personnel qualifié ni l’équipement pour le faire.

Comment expliquer alors que la seule source de pollution qui a pris de l’ampleur et dont les normes de contrôle ont reculé depuis une vingtaine d’années, soit l’agriculture? Par exemple, la distance minimale de protection entre l’épandage du purin dans les champs et un cours d’eau est passée de 30 mètres en 1981 à 3 mètres aujourd’hui (12). C’est une aberration que je ne comprends pas : qu’on laisse la production de la nourriture polluer les sources d’eau potable est une situation qui doit changer si la survie de la race humaine à un prix raisonnable soit possible.

Tous les humains doivent être capables de profiter de la présence d’une rivière ou d’un lac dans leur région! La fonction d’une rivière ne doit pas être limitée à servir de trop plein d’égouts municipaux et de déversoir pour égoutter des terres agricoles. Ce n’est pas seulement une question de droit, mais de santé publique (13). À cet effet, l’OCDE s’inquiète dont la façon que le Canada protège peu son eau : “la pollution de l’eau d’origine agricole est un sujet de préoccupation” (14).

Certains pensent que la notion même d’égouts, système répandu dans le monde industrialisé qui date du temps de la civilisation de l’empire romain, aurait besoin d’être repensée. La solution serait-elle que dès le départ, il soit interdit formellement  de se débarrasser de nos excréments dans la rivière (15)?

Cette décision, qui demande un grand courage politique, démontrerait à quel point il est insensé de mêler les déjections animales avec de l’eau pour ensuite les épandre sur les terres du Québec dont le ruissellement pollue les rivières. Cette méthode nauséabonde, adoptée par l’agriculture industrielle, est en complète contradiction avec la nécessité de puiser à même les rivières pour fournir de l’eau potable aux populations riveraines.

Les tribunaux s’en mêlent

Le système judiciaire commence à réaliser que la valeur d’un cours d’eau va bien au-delà de l’usage qu’en fait l’agriculture : le seul facteur économique ne tient plus la rampe. Les autres “usagers”, faut-il dire les citoyens qui ont d’autres intérêts que pécuniaires,  ont des priorités qu’il faut prendre en compte. Faudra-t-il faire valoir nos droits à des rivières saines devant les tribunaux sur une base du cas par cas?

Hélas c’est bien long avant que les rivières s’assainissent! Je constate qu’il y a très peu d’amélioration dans la gestion des cours d’eau au Québec depuis des décennies. À la lecture des écrits de Pierre Desrochers dans Le Québécois Libre du 20 mars 1999, il est possible de constater que peu de choses ont changé dans les campagnes de ma province. Le droit de produire égale toujours un droit de polluer. Ce sont nos rivières qui en souffrent, et les gens qui en sont privés.

Il est grand temps que les citoyens réclament leur droit à l’eau propre.


Par Johanne Dion
Co-fondatrice du Comité richelois pour une meilleure qualité de vie


Sources :

(1) Cement Co. Dumping… – Article (en anglais)

(2) In Search of the Beauty And Mystery of Home – Article (en anglais)
 
(3) From the field: QuébecArticle (Canadian geographic, en anglais)

(4) Projet de retauration des Chenaux de Carignan Revitalisation et aménagements fauniques – Site Internet de Nature-Québec

(5) Modifications au régime réglementaire agricole : les contradictions paraissent plus clairement dans le cas de Richelieu – Communiqué de presse (Nature-Québec)
    
(6) Pourquoi éviter le gaspillage? – Site Internet de Nature-Québec

(7) La voile dans la région de Saint-Jean-sur-Richelieu – Article (Salut Bonjour)

(8) Liste des plages admissibles pour la région administrative de la Montérégie – Site Internet du MDDEP

(9) Programme Environnement-plage – Publication des cotes bactériologiques des plages échantillonées – Site Internet du MDDEP

(10) Les espèces menacées et les espèces nuisibles – Site Internet du COVABAR

(11) Deuxième ensencement : un million de jeunes anguilles dispersées dans la rivière Richelieu et le lac Champlain! – Site Internet d’Hydr-Québec

(12) Élaboration d’une méthode visant à identifier les coûts subis par les producteurs agricoles dans le but d’amenuiser l’impact de la production agricole sur l’environnement (page 47) – Étude du Centre d’études sur les coûts de production en agriculture

(13) Les risques à la santé associés aux activités de production animale au Québec – Document du Comité de santé environnementale du Québec  

(14) La performance environnementale de l’agriculture dans les pays de l’OCDE depuis 1990 (page 8) – Document de l’OCDE

(15) Éloge de la toilette à compost : pourquoi et comment sortir de l’égout  – Site Internet d’Écorev  

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