La Ville de Côte Saint-Luc lance SeeClickFix

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Une première au Québec, la Ville de Côte Saint-Luc a lancé SeeClickFix, un site Web et une application mobile permettant à toute personne de signaler un problème dans sa ville sur une carte.
 
« Nous fournissons aux résidants un moyen de signaler les problèmes et d’être ensuite informés dès qu’une solution est apportée, a expliqué le maire Anthony Housefather. Tout est public et n’importe qui peut surveiller le statut des problèmes affichés et constater combien sont déjà réglés. Cette application nous permet de suivre l’évolution des problèmes soulevés afin de nous assurer de les régler rapidement et à la satisfaction de nos résidants. »
 
Boston a été l’une des premières villes au monde à développer ce genre d’application à la fin de 2009. D’autres villes ont renoncé à d’importantes dépenses en immobilisations et elles ont plutôt décidé de payer un tarif annuel pour l’utilisation du logiciel, comme Toronto, Chicago, Houston, Washington D.C., et maintenant Côte Saint-Luc. Lorsque les utilisateurs rapportent un problème, ils peuvent choisir de recevoir des mises à jour par courriel quand la ville a étudié la question et quand le problème est réglé. N’importe qui peut surveiller le statut d’une requête, voir les mises à jour, faire un commentaire, et voter pour indiquer son accord à ce que le problème relevé soit réglé. Cela aide la ville à savoir quels sont les problèmes les plus importants pour les résidants.
 
« Du point de vue des opérations, SeeClickFix est très utile puisqu’il donne à notre contremaître des Travaux publics l’emplacement plus ou moins exact du problème ainsi qu’une photo – si la personne en a inclus une, a précisé le conseiller Steven Erdelyi, responsable des questions relevant des Travaux publics. Par exemple, si quelqu’un affiche la photo d’un graffiti dans un parc, le contremaître peut alors envoyer tout de suite une équipe de nettoyage au lieu d’avoir à se rendre sur les lieux pour confirmer où se trouve le graffiti à la suite d’une plainte par téléphone. »

 

Source: UMQ

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