L’Expo Manger Santé 2010 : le paradis des « granos »

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Par Maude Lewis,

Stagiaire chez GaïaPresse


 

Étudiante au Collège Mont-Saint-Louis, Maude s’est greffée le temps d’un jour à l’équipe de GaïaPresse. Elle nous livre ici ses impressions.

Dimanche 21 mars 2010, 13 h 30. J’attends impatiemment devant l’entrée de l’Expo Manger Santé et Vivre Vert, au Palais des Congrès de Montréal. Je me rends compte que je suis assise juste à côté de l’éditrice de GaïaPresse, Lucie Bataille, lorsque Denise Proulx, la présidente, vient à ma rencontre. De qui d’autre aurais-je pu être entourée pour un stage d’observation d’une journée sur l’environnement? J’avais une véritable chance qui s’offrait à moi.

Nous sommes donc entrées sans plus attendre à l’intérieur de ce que j’appellerais le paradis des « granos ». Malgré ma première expérience à cette exposition, j’ai tout de suite su que j’allais y faire de nombreuses découvertes. Parmi celles-ci, le site Internet de Passeport Santé, l’équivalent de GaïaPresse, mais pour la santé, ainsi que l’entreprise Karité Delapointe , qui travaille avec des femmes productrices de beurre de karité au Burkina Faso.

Ce qui rend cette exposition enrichissante est le fait qu’il y ait un très grand éventail d’entreprises différentes. En effet, nous pouvions commencer la visite par le kiosque de Sol Cuisine offrant des créations végétaliennes, telles que des burgers, et finir avec un stand sur la vaisselle biodégradable tel que présenté par Nova Envirocom. Je suis toutefois restée étonnée devant la présence de certains exposants, comme par exemple Tupperware, dont les produits sont non biodégradables et non faits de matières recyclées, mais garantis à vie.

Lorsqu’on me demande ce qui a davantage accroché mon attention lors de ce stage, ce n’est pas le nom d’un stand ou d’une entreprise qui me vient à l’esprit, mais plutôt le remarquable nombre de fois que l’équipe de GaïaPresse a tenté d’établir un certain début de collaboration avec divers exposants. Il faut énormément de temps, de passion, de conviction et d’efforts afin de construire un portail complet sur l’environnement sans jamais avoir la certitude que les gens y adhéreront réellement. Je lève donc mon chapeau très haut à ces femmes luttant pour un avenir vert.

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